Les difficultés de la vie nous contraignent parfois à des dépenses de grande envergure. C’est sûrement à cause de cela qu’est né l’acompte pour porter un coup de grâce à ses nombreux ouvriers qui se battent au jour le jour pour l’épanouissement de la société. Cet article vous présente le processus de demande et de calcul de l’acompte.
Processus de demande de l’acompte
Avant de clarifier le processus de demande de l’acompte, il est important de mettre la lumière sur ce qu’est l’acompte, découvrez le ici. En effet, l’acompte pour un salarié, c’est le payement d’une partie du salaire en contrepartie du travail déjà fait. C’est à dire que l’ouvrier qui doit être payé à la fin du mois peut déjà recevoir une partie de son salaire en fonction du travail qu’il a déjà accompli bien que le mois ne soit pas à son terme.
Le processus de demande de l’acompte se veut très simple, mais assez technique. Il s’agit essentiellement d’une demande écrite, soit par courriel, soit sur papier libre, afin de faciliter l’établissement de l’historique de l’acompte et de faciliter le contrôle de la paie. Dorénavant, la demande devra contenir des informations telles que le numéro matricule du salarié, son nom et prénom, le mois et le montant de l’acompte, la date de demande de l’acompte et la signature du salarié. Par ailleurs, certaines entreprises établissent des règles que doivent suivre les demandes de l’acompte de leurs employés.
Procédé de calcul de l’acompte sur salaire
Un acompte qui équivaut, pour une quinzaine, à la moitié du gain mensuel, est versé à l’ouvrier qui en fait la demande. L’ouvrier peut alors entrer en possession de son salaire avant même l’établissement de son bulletin de paie. Mais l’acompte n’est pas octroyé à l’ouvrier dans le hasard. C’est fait, suivant un calcul dont le principe est le suivant : on procède à une multiplication du taux des heures du mois de l’ouvrier par le nombre des heures déjà effectuées et prises en compte pour le calcul du montant de l’acompte. Après ce calcul, on retire du montant de l’acompte brut 25% de cotisations sociales pour trouver la somme de l’acompte net à payer à l’ouvrier.
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